ce jour est vert. Décidé, c'est décidé. Y'a eu

ce jour est vert. Décidé, c'est décidé. Y'a eu cette impréssion, ce souvenir dans mon ventre, mes yeux qui voyaient flous, les autres et la vie qui devenaient fou. Là dans mes idées. Merde, incontrôlable solitude. Il est posé dans mon ésprit, comme une couche de moisi. Y'a rien qui dure. Elle et ses calins lumineux comme le papier cadeaux de noel. Sont beaux ces gens, je vais poser mes yeux sur eux, qu'ils le veuille ou pas. Les paroles m'ennuis, je me nois dans une obscure rue poluée de cris, d'alchool, de cul. Ca pu, et j'ai beau me boucher le nez, ça sent. La colère monte de mes pieds à ma tête. Je pleure, et cours dans ma chambre. Quelle piniouse. Faiche. On va dire d'accord monsieur. Et rire en cachette, fouine. Je ris, dans ma tête. Pour de faux, ça fait bien. Même lui ne même plus sans le sourire. Semblant en sa présence, m'enfermer dans ma chambre, enfumée, cracher du noir c'est pas rigolo. Tant pis.