Un rire égue viens tuer le calme. Stridant. Les

Un rire égue viens tuer le calme. Stridant. Les enfants sourd écoutent ses pas, d'une beauté éclatante. A l'intèrieur d'eux il y a plus de bruit que dans chacunes de nos tête. Impôts, économie, crise, théories, chouette vie, va. On sourit souvent, crit gaieté et c'est rigolo. Posée sur un chauffage, ses fesses blûle, elle rit. Elle aime avoir chaud aux fesses. Y'a pleins de mots qui sortent de la bouche des autres, elle se croit spéctatrice, elle est actrice. Si elle se regardait, ridicule. Bon, elle se lève, il est temps. Elle pense à certaines petites choses qui n'existe pas, faux, pas le droit merde ça fait mal partout. Elle sautille et pousse de tout petits cris. Elle ouvre les yeux, elle à tout imaginé, imbécile. Elle renifle, solitude attroce, plus de chant, ouille ail et zut. Penser à rien, réfléchir à tout. Sortir de sois pour aller voir ailleur. Voyager dans l'autre, et se laisser guider, ses mots sont tout doux, elle carresse son nez. Idées de travers qui la traversent dans le sens inverse.

Une lune éclaire ton visage, elle n'est que de passege, rentrons et embrassons nous. Toi, ulysse. Lui, il est tout neuf, y'a de l'air qui passe avec le temps. La peur installée dans nous, écrasant tout sur son passage. Crises de nerf de l'intèrieur de sois qui est en colère. Y'a de l'amour dans l'atmosphère, naufragés, réscapés se tenant par la main de loin. Un pays a voulu les séparer.